NOURRIR LE GOÛT DE LIRE
En posant un regard d’ensemble sur l’édition 2007 du Prix littéraire des collégiens (PLC), on mesure d’emblée son effet structurant dans les institutions collégiales où elle prend vie ainsi que dans le monde des lettres québécoises. Déjà reconnu comme l’un des « cinq prix les plus convoités au Québec », le PLC nourrit non seulement le goût de lire des étudiants du Québec, mais il contribue à la vitalité économique du milieu littéraire par son incidence positive sur les ventes de livres. Dans un dossier de la journaliste Jade Bérubé publié le 22 avril dernier dans La Presse et consacré au Prix littéraire des collégiens, Antoine Tanguay, le directeur des éditions Alto, précise que la portée de ce prix n’est pas seulement économique : « C’est flatteur de recevoir ce prix parce qu’il est très allumé, explique-t-il. Ce prix couronne de très bons livres [et] se distingue […] parce qu’il remet en cause certains postulats littéraires. C’est rafraîchissant. Et puis, pour avoir fréquenté certains événements reliés à ce prix, je peux témoigner d’un côté social qu’aucun autre prix ne peut se vanter d’avoir. Que des événements littéraires attirent autant de jeunes, que ce soit lors de rencontres en librairies ou autres, c’est extraordinaire. »
Le présent rapport fait état du travail réalisé par le comité du PLC en 2006-2007 afin de promouvoir la lecture chez les jeunes collégiens et de contribuer au rayonnement de la littérature québécoise. Ce comité rassemble des gens de la Fondation Marc-Bourgie et du quotidien Le Devoir, ainsi que des représentants des institutions collégiales suivantes : le Cégep de Sherbrooke, le Collège Édouard-Montpetit, le Collège Jean-de-Brébeuf et le Collège Montmorency.
Documents joints
Bilan de l’édition 2007 (PDF – 2.2 Mo)
Rapport d’activités pour l’édition 2007